Entre démons (PV Patch Cipriano)

Je dormais, confortablement dans mon lit moelleux. La chambre était sombre, aucune source de lumière n'entrait dans la petite chambre. Finalement un bruit se fit entendre. Un tapotement sur les volet tirer sur la fenêtre. Tap tap tap d'où venait ce bruit ? Aucune idée mais il étais dérangeant. Je remua dans le lit avant de me tourner vers la fenêtre. Je regarda le réveille avec mes yeux bouffis encore endormis. Il étais tôt mais faisait il jour dehors ? Aucune idée, la lumière n'arrivait pas a passer les épais volets. Je m'étira en soupirant. Je sortis de mon lit et alla vers la fenêtre. Par des geste précis et signe d'habitude je 'l'ouvris. Dehors il faisait nuit enfin le jour commençait a se lever. On voyait le soleil qui perçait difficilement le ciel sombre. Je vis que c'était un corbeau qui avec son bec avait tapoter a ma fenêtre. Je souris en le voyant et lui caressa les plumes.
Je m'accoudai à la vitre, observant la vue. J'étais ici depuis environ deux semaines et je n'avais pas encore l'habitude de cette ville. Je souris et alla vers la salle de bains. Je me débarrassa de ma chemise de nuit et entra dans la douche. Une douche froide rient de mieux pour me réveiller. Une fois propre, je pris mes affaires et m'habilla comme d'habitude, une robe noirs avec des bottes a talons (comme sur signa). Je me sécha les cheveux. j'aimais mes cheveux, noirs comme la nuit et avec les reflets du soleil, ils avaient l'air d'être des ailes de corbeau. Une fois habiller, je mis du mascara au dessus de mes yeux gris orage et sortit de la salle de bain. Je prit une veste légère et sortit dehors.
Je n'avais vraiment pas envie d'aller en ville, une balade serait bien tiens. Et peut être trouverais je des personnes égarer, de quoi avoir des âmes. Je souris et marcha vers la forêt. Malgré mes talons, je marchais sans mal a travers les broussailles et les arbres. J'étais silencieuse, me déplaçant comme une ombre dans la foret. Celle ci était encore sombre, le soleil n'avait pas percer. En voyant toute cette étendue, le feunard en moi avait envie de bouger. Mais ce n'étais pas possible.
Je tendis une de mes bras en l'air et attrapa une branche. Je me propulsa vers le haut et atterri sur la branche. Je me mit debout sur celle ci, les mains dans les poches. Une brise se leva, faisant voler mes cheveux sombre pendant que mon regard gris regardait à l'horizon le soleil se lever.

[désoler du retard]

Une ombre. Une silhouette avec des ailes. Des battements d'ailes. Je ferme les yeux sentant le vent s'engouffraient dans mes cheveux. Une aura. Pas n'importe laquelle, celle d'un démon, d'un prince démoniaque. Je rouvre les yeux. Une lueur pleine d'assurance et de malice brille dans mes prunelle noir. L'inconnu, le prince, est en dessous de moi. Il ne dit rien, je fais de même. Finalement une voix s'élève, l'homme parle.

- Moi qui me croyait seul connaisseur de ces lieux. Me voilà remballé. Un infime sourire éclaira le visage de l'homme. Chère Sous-Princesse, me priez-vous de me donnez votre nom.

Je ne répond pas. Je descend souplement et agilement de ma branche pou aller sur celle du prince. J'atterris sur mes deux pieds. La tête baisser, mes cheveux noir couleur aile de corbeau sur mon visage, un sourire sur mes lèvres. Redressant doucement le visage, je balaya mes cheveux se les yeux. L'inconnu a sans doute mon age en apparence du moins. Des cheveux mi longs noire. Il est d'une beauté frappante, mais qui serait résister a la beauté démoniaque des démons ? Je croisa mes bras derrière mon dos et m'appuya contre le tronc de l'arbre. D'une voie clair et douce je répondit.

-Je dois l'avouais c'est la première fois que je viens ici. Mon nom ? Cher Prince, si mon nom vous interresse autant jouons et vous l'aurez.

Un sourire malicieux que les lèvres, je regardais le Prince. J'étais d'une humeur joueuse. De toutes façon les démons sont tous un peu joueurs, surtout que je ne donnais pas mon nom a n'importe qui, souvent je donne un pseudonyme. Je plaça une mèches de cheveux derrière mon oreille et regarda le ciel qui perçait difficilement a travers la cime des arbres. Le ciel était lever, mais pas de beaucoup mais on voayit le bleu ciel qui gaganit du terrain.